Trouver les touches du clavier.
Entendre des cris, dehors, dus aux hurlements des passants.
Manger, toujours manger, pour ne pas vomir.
Manger, deux fois par soir, pour éponger les X pastis et les X+Y beers buent ce soir.
raconter sa tristesse, de voir tant de monde se déchirer.
Raconter la solitude, les huit années d’écart avec son tuteur pseudo maître en art de vivre. Non, pas pseudo, nécessaire est plus juste.
Jouer des lettres, se rendre compte de la difficulté de taper les lettres
écrire sans envie
parler sans besoin
aimer un monde sans le connaitre.
pleurer ensuite.
Se rendre compte de l’alcool bu, sous-estimer ses capacités et recommencer le soir suivant.
pleurer la honte, de voir un tuteur haïr un ami, pour autant qu’il comprenne. Tout ceci n’est qu’un jeu. Haïssons nos pensées
pleurons nos ainés.
Pascal, merde, reste, et encule cet enfoiré.
La vulgarité est à la hauteur de la honte
Pascal, merde, Jérôme est un profiteur, te laisse pas faire.
Mon pote, tu me connais, fais moi confiance, ce mec veut ta peau
Pascal. Reste.
Pour Julien.
J’ai parlé à Jérôme mais n’ai rencontré que le mépris
j’ai parlé au serveur mais n’ai rencotré que le tuteur
Jérôme ne boit pas,
il suppervise, et se moque
il hurle contre la vie et n’aime pas les vivants.
Jérôme a raison mais devrait souvent se taire.
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