Permettons nous une dernière fois cet aveu
de ne vouloir être vu de personne
on finit dans les décombres de nos châteaux
démontant nos murailles,
vidés de nos essences, nous supplions
les voisins transis de peur à notre vue
de supporter au moins une fois
l’outrage du temps sous nos chapeaux de charpie
avouons à nos anciens les précieux précipices
de la fougueuse jeunesse.
On sortira de nos paquebots
merde à la vie
merde à la mort
merde à l’envie
merde à l’amphore.
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