Aimer Jean-Pierre Foucault comme l’aime
Macha, c’est d’abord aimer la voix de Macha.
Bête, comme cette réflexion, on en vit, on
en meurt pas, alors quoi ?
Comment voulez-vous qu’on se rende triste
avec des pleures si l’on écoute une grande
dame au sourire enfumé ?
D’accord, j’aime détruire le Moi, l’infâme
censure, mais pas après 00:30 sur France
Inter.
Elégance et dérision, ce sont les maux des
mots morts démo(nstration) de talent
improvisé, de qualité.
Fermons la parenthèse, le silence est dors
et déjà rompu par les pensées. Ne pensez
Pas.
Gardons nos rêves, pulvérisons nos vies
dans les sourires des mômes, donnons le
meilleur aux petits, les grands peuvent
bien encaisser le douloureux.
Habites-tu toujours à Montmartre ?
Irrégulière, je me suis habitué à toi.
Jolie comme un bouquet de soleil, un rayon
de fleur.
K., tu es un cas.
L’autre se demande ce que je dis, peut être
a perçu le jeu, alors il s’amuse ou s’ennuit.
Même si tu m’en veux le M. pour ton nom.
« A quel point je hais, ce que tu (es/hais) »
Naturelle comme on peut l’imaginer, comme on
l’imagine simplement. Parceque qu’on ne lui
parle pas non, on ne lui parle pas.
On la juge, on l’écoute mais on la juge.
Pourquoi sommes-nous si distants ? Parceque
nous vivons à distance, voilà.
Q.
Restons amis si tu le veux bien, je suis un
vétéran, je t’aime pour ton absence, et
crains que les blessures ne s’ouvrent plus
encore qu’elles ne le sont déjà. Ouvertes.
Suis un peu.
Salope. Voilà bien un mot qui est impropre à
la vie.
Terminons sur le thé. Taisons les taies.
Thèse d’un T maladroitement concluant.
Une vie s’achève dans un silence et un soupir
dans l’urine et la fuite.
Volontaire jusqu’au bout, j’en prendrai bien
une petite part ; ça coutera combien ?
Wagner était-il naze ?
XXX.
Y a t-il un avenir à l’espoir ?
Zorro. C’est lui, l’espoir !
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