Poésie 18102003

J’aime trop la vie pour en être un jour dégoûté.
J’ai vraiment su que je t’aimais le jour où tu me l’as rappelé.

L’errance serait trop belle sans un peu de sang, sans une fin.
L’errance se ponctue de transes, soyons en conscients dans l’inconscient.

Toujours il y a cette femme au bleu ravageur des yeux
Toujours il y a cette larme au fond de mon coeur.

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