Elle est là.
Au coeur de la nuit
au fin fond des ténèbres
dans l’aspect lugubre de nos vies en émoi
elle est là.
Une muse, ou un esprit parallèle
une petite fée, qui sublime les grandes
mais qui surtout se trouve
dans son habit de lumière .
Au confessionnal du désarroi,
la jolie damoiselle s’ébat de ses délires
dans l’eau foisonnante et frémissante
au comble de la vie, au coeur du souvenir.
Moi, j’attends en enfant sage
j’attends sans frémir
mais le coeur en vie, le palpitant au maximum
moi, j’aime une petite muse au coeur-éponge
Elle est là,
dans son habit de lumière
dans sa prison de papier
elle est là, et on s’aime.
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