Au clavier j’avais préféré le crayon
le dessin contre le texte
le carnet contre l’écran
et puis me revoilà
tout fier de mes textes, de mon silence
du temps qui passe et dont je perçois l’angoissante progression.
J’écrirais bien que vous m’avez manqué,
mais devant mes yeux vrais
j’ai vu plus que vous ne sauriez imaginer.
Vous imaginez ?
Je ne le crois pas.
A tantôt,
dans l’errance ou ailleurs,
« santé, bonheur, joie dans les coeurs »
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