A trois grammes
je ne suis plus l’même
y’a plus rien d’pareil
quand ça va pas
j’vous prends dans mes bras
j’vous dis : « t’inquiètes pas, d’main ça s’ra pas pareil
on s’marra tu verras, on s’relève de tout, et puis
tout va bien
Si j’ai un ricard
en t’serrant fort j’en renverse un peu
question que j’sois plus trop bourré
à la deuxième pluie
dans les yeux
à trois grammes
j’suis différent
j’vois la vie ousk’elle m’mène
Tes sourires d’enfants
ça m’transforme grave
que quand tu ris, à trois grammes
moi j’t’embrasse c’est comme ça
y’a plus je y’a plus d’nous
y’a tout le monde et on s’aime très fort
les ‘téros les tantouzes et les on sait pas trop
A trois grammes
je ne suis plus l’même
y’a plus rien d’pareil
j’accepte tous les dons
l’amour et la bohème
j’accepte tous les nons mais les pleures
me donnent la haine
plein comme une huître moi
j’suis comme ça, j’trouve plus
de mots que les jours ou y’a pas (soirée).
A trois grammes
la fleur au dent
oucék’j’ai mis mon fusil
On est tous des copains
y’a plus rien de gênant
on fait plaisir, et on reçoit
tout est normal, enfin quoi
si la planète était à 3 grammes
j’me f’rais ptêt plus sauter la tête.
A trois grammes
‘tin s’qu’on s’aime
‘tin s’qu’on s’aime.
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