Du sang pour les vampires 13032005

est-ce encore vous qui m’attendez
ou maintenant moi qui n’arrive plus à partir
je m’effondre chaque soir
avec un vilain espoir
celui de pouvoir sourire de vous revoir

j’ai essayé, et parfois j’ai réussi
à vous perdre, à contraindre l’étreinte
avec cet utopique espoir
celui de retrouver le sourire, chaque soir
où la nuit se fait traitresse
et la solitude, enfer.

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