Papier 01 07052005

Même si je sais que toi tu m’aimes
comment puis-je être sûr que moi je m’aime
le miroir à présent ne me répond plus
tu sais mon âme ô combien je t’aime
même si j’en conviens
ma haine du lendemain
tragique, peut te faire douter de mes réels désirs.
Ô mon âme je peine à te connaître
ici-même où règne le flot de mes pensées vagabondes
Oui pour sûr tu es reine
de mes pensées, souveraine
je ne quitte ta figure blême que pour l’alcool jaloux
offensé.

Parfois mes amours soudaines
s’offrent à toi sans fredaines
avec plaisir se heurtent à ton souvenir

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