Pif paf poum 24052005

Le souffle coupé par moment
je cours sans m’interrompre depuis des heures
peut-être des jours, j’en oublie jusqu’au temps
qu’il fait, qu’il passe, je lui offrirai un verre ou deux
La course effreinée vers le lendemain de la veille
perdre un jour de vie pour un jour consommé
et brûler les chandelles, et le chandelier
manger les bougies sur le gâteau
Brûler.

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