Karmeliet m’entraine où elle veut
c’est le destin qui le veut ainsi
semi-sobre, semi-sombre
je marche derrière mon ombre
et je trace des chemins inconnus
Karmeliet m’emmène où elle veut
j’enchaine sans contrainte
les delirium tremens
avec plaisir, dans l’étreinte je croise
qui veut parler, je suis ouvert
le plaisir de plaire et sans contrainte je m’abreuve de bière
Karmeliet la guerrière
j’absorbe, je digère des centilitres de bière
belle amante divine meutrière
ouvert à la discussion
je me bats dans l’alcool
et tu me dis oui
qu’importe qui tu es, pour moi, tu es un mythe
Il dit une karmeliette
je dis tu mets la même
au patron complice
et tu me vois tituber
je ne rompt pas, pire je pisse
sur ma destinée
Elle me dit je t’aime
je lui dis aurevoir
je marche dans mon ombre
je titube certes et je glisse
sur l’opportunitée
de me ruiner, je marche seul sur le boulvard
mais je suis infiniment
contaminé.
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