A trop écouter
tes gérémiades
j’ai tourné de l’oeil
d’un air maccabre
j’ai annoncé à l’assemblée
« je vous quitte sans regret »
A trop écouter
tes cavalcades
tes chevauchées meutrières
humanité tu m’en voudras
sûrement car aujourd’hui
je te dessers
Oh, que les moments sont injustes
quand l’âme flanche à la dérive
des planches échouées sur la rive
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