Dingue c’que j’l’aime la dérive au beau milieu du monde
le beau monde qui vrille toujours en particulier près des anonymes étrangers
la rue se vide de ses passants, passe le temps
les arrivants arrivèrent tous en même temps
pas de victoire, ni de gagnant c’est une course nulle
pour les voyageurs vivants.
Quand je traverse la presqu’île par mauvais temps
les aventuriers désespèrent de m’voir revenir vivant
y’a rien à craindre j’suis béni des dieux du vent
je marche seul sur les digues, y’a qu’comme ça qu’suis content.
Laisser un commentaire