Insolaissance 07022006

Pour l’heure,
la nuit m’effraie.
Où est Morphée
il est en retard
les monstres cognent à ma porte
je m’en vais leur ouvrir.

Pour l’heure,
l’Autre est absent.
Qui va me répondre
j’ai besoin de parler
les troubles pensées abondent
j’ai un coeur et une bite.

Pour l’heure,
le plaisir d’être m’échappe.
Où trouver la chaleur
le contact humain
mes actions sont sincères
je n’éprouve plus le plaisir d’aimer.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.