Quand arrive l’heure de faire les comptes
Les yeux au large, stagnant fébrile
Les bénéfices comblent à peine le précipice
Et l’affection dans tout ça ?Affecté, démoli, reconstruit
des coups dans la gueule
j’en ai pris, j’en ai donné
on DOIT être fort si l’on songe au respect.
Quand arrive l’heure de faire les comptes
de payer les pots cassés, les pas de travers
L’argent ne compte pas, non biensûr
La mise est en vicères, et là dessus j’ai tout donné.
« Allons-y messieurs, dames
Pour un fantastique bénévole à tout faire
On y va, allez, allez ! Un coeur seulement !
Je dis bien pour un coeur seulement, il est à vous. » »J’ai un poumon à ma gauche, un rein à ma droite
faut-il rappeler le parfait état de marche de l’objet ?
Oui j’entends une offre dans le fond : un regard et une oreille !
Qui dit mieux ? »
Pour l’apothéose je propose au bout du compte
un phase terminale sale, des échimauses
des aurevoirs héroïques juste avant la faillite
un dernier tour de piste pendu à la corde raide.
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