Lise, tu sais, je t’aime
même ivre mort
nous avons eu des regards
qui ne trompent pas
le corps est inerte je sais
mais à mon sens, l’esprit
raisonne défoncé je t’ai aimé ce soir
dans un regard
Je crève de chaud ici
la fumée m’indispose
tu sais je fume, tu le sais, on fumait ensemble la même clope
et pourtant la vie me malmène je t’aime
Lise, tous les morçeaux de coeur qu’il me reste sont pour toi.
Je ne t’ai pas écrit
ça faisait glauque sur un flyer d’une soirée
passée, ça oui je t’ai aimé
quand nous reverrons-nous ?
A la prochaine cuite, ensemble
j’ai aimé te voir rire, de mes conneries
de mes discussions politique et autres chamailleries
avec l’humanité, toi tu sors du lot puisque je t’ai désiré
dans un regard, des mots échangés, tu étais malade
moi je suis fou, on s’entendra.
Un dernière bière patron
c’est fou c’est la première fois que j’en vois un en boire autant
Faut dire, je suis motivé, et puis tes amis sont mes amis
Qu’est ce que tu bois, tu ne bois pas vite, moi je suis déjà détruit.
Je te quitte sans un aurevoir
je ne sais plus parler.
Aurevoir Lise, je t’ai aimé ce soir
dans ce café.
Au revoir.
Laisser un commentaire