J’ai barbouillé ton corps d’acide chloridrique
donnant à ta peau cette odeur âpre
me rappelant ton parfum d’antan.
Tu brûles aux confins de ce silence de tombe
Mon coeur avec la baignoire débordent de pourriture
et le pue semblable à ma semence se disperse
des plaies béantes ornant ton être.
Elle se dispense de remuer un cil
bien qu’il eut été fort beau dans sa version naturelle
me rappelant ton charme surfait.
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