Texte 02 – 12052007

En corps à corps d’arsenic
j’écoule à mort les délices
sans scrupule je m’armorique
aux armoiries ridicules

Et encore,
dans un souffle divin
tu t’endors
en guettant le malin

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.