Mémoire virtuelle de la vanité de Jennifer Lewis
Petite enfant pourrie à l’allegresse bourgeoise
sur ton purin d’idolâtrie tu as pris racines
et aujourd’hui putain, au moins pour toi-même
tu te mates les seins sur des photographies
et tu défends au demeurant
la veuve et l’orphelin
ton ambition n’est que paraître
et ton discours est le néant
je vais t’en donner du sordide.
Petite croqueuse de diamants
ton image vaut plus que ton âme
et pour tout ceux à qui tu mens
la photographie te condamne
Mémoire virtuelle de la vanité de Jennifer Lewis
ou l’histoire vraie d’une maladie honteuse d’artiste.
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