C’est la cohue
c’est l’arborescence
de l’adolescence
dans un tohu bohu
de déliquescence
tellement tendance
et toujours tout nu
phosphorescence incongrue
désir simple de reconnaissance
mon cul !
—
mon désir de mourir équivaut
à la racine carrée de tes chevaux
mon ange sous l’égide des étriers
bien montés, bien entendu
et sur de petits poneys éventuellement je me rue
sans scrupule échoué à la dérive sans filet époumoné
toussez, toussez, avalez, respirez, dégagez
—
Laisser un commentaire