Que serait PAF sans ses légendaires pannes de chauffage ?
C’est la question que je me posais ce matin, debout dans la douche vers 9h00 à attendre que l’eau chaude sorte du pommeau. Et l’eau chaude ne vint pas. En fait, en retournant dans la chambre, j’ai réalisé qu’il faisait froid et que les radiateurs aussi étaient froids. Ah ! La panne de chaudière annuelle !
La moitié des résidents a donc migré dans l’autre aile du bâtiment où la seconde chaudière avait tenu le choc. Pour ma part, j’ai fait l’impasse. C’est root. Enfin, ça fait plus camping quoi.. Et puis je peux pas dire que je sue beaucoup, assis dans le canapé du Peacock studio à traduire Spangbergianism. J’ai passé la barre des 100 pages. C’est très encourageant. L’objectif reste les 140/150 pour le 3 au soir.
D’ailleurs, ce matin si je me suis levé si tôt (9h00) c’est pour aller à ma réunion de travail avec Marten sur la relecture de la traduction de son ouvrage. On fait ça au petit déjeuner histoire de se donner de la latitude pour le reste de la journée. Pour ma part, ce fut traduction, café, bulots à midi, re-café et … hey !
Une minute, comment ça il n’y aura pas de sieste collective aujourd’hui ?! Hey !
Bon. Donc, vaisselle pour aller passer un peu de temps avec les cuistots à défaut.
Pendant ce temps, une discussion sur le thème de la mauvaise humeur est organisée dans la salle de discussion. J’ai fait l’impasse cette fois. C’est peut-être du fait que je suis pas d’humeur.. pour ce genre de thématique.
Vivement ce soir, je sens qu’on va encore se régaler, héhé.
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