PAF WUM 20130102

Déjà le 2. Le 2 janvier 2013.
tout passe si vite, c’est vrai..

Déjà une partie des résidents de WUM s’en vont, des nouveaux arrivent.. Adieu Annick ! Ha ha, c’est idiot.

J’ai bien récupéré de cette terrible soirée du 31 décembre, à grands renforts de verveine, d’eau tiède et de nourriture ultra-saine.

La journée d’hier était orientée sur différents ateliers : il y a eu d’abord cette présentation d’un fond d’investissement finlandais qui propose un rendement à 23% annuel dont la moitié des bénéfices – non-assurés – est reversé à des actions sociales et / ou artistiques. Ce qui amène à positionner la finance dans le débat artistique et cela fait toujours quelques étincelles…ensuite nous avons eu le plaisir de voir en avant-première un documentaire américain sur la condition de désobéissance civile dans un pays qui n’y est pas tout à fait préparé culturellement (les états unis donc).. et de pouvoir en parler avec la réalisatrice. Avant d’aller me jeter corps et âme dans un workshop de mon ami Adriano – que je trouve fantastique – et de sa partenaire Emma. Le workshop consistait dans son intégralité en la réalisation d’un gigantesque dessin sur un gigantesque feuille de papier au sol, avec les six autres participants en simultané, pendant dix minutes, accompagnés par une musique psychédélique qui déchire tout dont je ne dois pas oublier de lui demander le nom…
Pour finir, le repas a été accompagné de 4 courts métrages d’un couple d’artistes russes extraordinaire.
Ce qui s’est passé ensuite, oh bah… vous savez comment ça se passe, on ouvre une bouteille, on se met à parler autour d’une table de ping pong et à un moment donné on se retrouve à danser sur du dubstep dans un studio avec un casque audio sur la tête. C’est ça PAF.. ce n’est que ça.

Aujourd’hui, outre le fait que j’ai atteint les 120 pages traduites de Spangbergianism, et que c’est sûr que j’arriverai pas à le finir pour vendredi matin, j’ai présenté Un très long rire d’agonie à un comité de lecture composé d’auteurs et poètes (américain, néerlandais, japonais…) et pas forcément francophones, mais j’ai reçu un accueil très favorable. Il semblerait que ma lecture de 4 textes ait fait forte impression. Les cours de théâtre ont servi à quelque chose, finalement.

Annick, cette page de mon carnet de bord portant le matricule PAFWUM20130102 est pour toi. Je te dédie ce jour, cette heure, cette minute. Merci Annick.
(il faudrait vraiment que j’arrête avec ça, mais je peux juste pas.)

Nouvel an à PAF 2013

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.