Je ne sais pas chez vous, mais ici paraît-il dans la nuit, il a neigé à gros flocons. J’écris bien paraît-il parce qu’à vrai dire j’étais trop occupé à dormir. Et le sommeil fut lourd, et long. On y dort bien dans la chambre 116.
Quoiqu’il en soit ce matin, au réveil, il n’y avait plus de trace de neige. Le vent et l’humidité donnent une sensation de froid mordant à ne pas mettre un pied dehors. Je me suis consacré pour la matinée à avancer sur mon troisième ouvrage de poésie et de textes courts. Avec le casque sur les oreilles, et l’écran à hauteur des yeux pour ne pas se faire mal aux cervicales, j’ai déroulé plus de deux heures de remise en forme des textes et d’ajouts plutôt bien inspirés.
A midi, Christian, Marcus et Siri avaient préparé un excellent risotto des familles. Je l’ai partagé avec Lukas. Il devrait prochainement me montrer le passage de « trois ou quatre pages » dans son dernier roman dans lequel j’apparais ! C’est drôle, je ne sais pas quoi penser de cela.
Puis j’ai fait une sieste avant de rejoindre l’atelier d’écriture qui s’était installé dans le grand studio. C’est une première. Rejoindre ce type d’atelier est un peu « bizarre ». L’atelier était étrange. Je ne pense pas que je ferai de nouveau l’expérience. C’était très régressif.
Demain je pense qu’il ne se passera pas grand chose. C’est pas uniquement parce que c’est dimanche, il doit également y avoir un peu de monde à venir et les vraies discussions ne commenceront que lorsque chacun se sera annoncé.
A plus tard !
Laisser un commentaire