Le Winter Update Meeting (WUM) de cette année s’annonce épique. Je suis rentré hier d’un long et savoureux séjour en famille, requinqué et bourré (d’énergie bien entendu).
Dépenser toute cette énergie donc demande des efforts. Des efforts, justement c’est ce qu’il faut pour organiser un évènement emblématique du PAF. On attend aux alentours de 120 participants selon les organisateurs – 12 d’après la police – et cela implique de la rigueur, de la discipline et un certain pragmatisme lorsqu’il s’agit de penser à la gestion des déchets.
Ce n’est qu’un exemple et il peut sembler étrange mais si l’on considère la production de déchet par jour et par individu, la problématique devient DANTESQUE.
Dantesque, c’est pas quand on a mal aux dents ? Non.
Vous le savez, les listes c’est ma grande passion. Voici donc une liste :
– se lever à 8h00, faire une vaisselle de la veille. Nettoyer la cuisine.
– arranger les deux salles du petit déjeuner. Tables, chaises, etc.
– ranger la deuxième cuisine, trier les assiettes, verres, plats, tout ça.
– rencontrer la boulangère et négocier la quantité de baguettes par jour.
– quelques achats de matériel électrique pour fixer les problèmes de dernière minute.
– vider les trois composteurs – épandre le compost dans le jardin
– célébrer l’avancement de mon jeu de société avec les amis autour d’un verre de champagne (hein, bourré d’énergie le mec)
– mettre en place la salle de réception pour le dîner
– prendre une douche parce que bon, le compost et les efforts ça marque
Et tout ça avec le sourire. C’est un réel plaisir d’organiser cet évènement. Pour plusieurs raisons (oui, une autre liste !)
– je suis pas tout seul à faire les tâches énumérées ci-dessus
– c’est probablement l’évènement où je peux revoir et discuter avec mes connaissances devenues nombreuses avec les années
– on boit du champagne et on mange comme des rois (trois cuisiniers de rêve cette année : Marcus, Siri et Emma)
L’organisation est un effort au quotidien pour préserver une certaine forme d’équilibre entre « tout est prévu » et « débrouille-toi, j’ai pas le temps ». Je n’aime pas trop employer l’expression « naturellement » puisque là, ce n’est pas le cas, mais on a ce sentiment d’osmose où chacun sait ce qu’il doit faire ou pas, et tout se déroule pour l’instant sans accroc. Cela dit, ce soir, nous serons une petite cinquantaine, dans trois jours, ça sera à peu près le double. Demain, je présenterai mon jeu aux curieux – après l’effort, le réconfort.
Joie !
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