Mon camarade D.E. Lucas, dont je traduis actuellement le roman The Low Road pour la première fois en français, m’a offert récemment un exemplaire de son nouveau roman / essai intitulé Iff such is the case. Pour en avoir d’ores et déjà entamé la lecture, je le conseille aux amis anglophones – c’est du lourd, aussi bien au niveau de la qualité d’écriture que sur la densité du contenu ! J’y fais une apparition courte mais intense, dans mon propre rôle et avec les mêmes manies.
C’est drôle, décalé, un peu surréaliste et contemplatif, parfois mélancolique et dans l’ensemble de ce que j’ai pu en lire pour le moment, j’aime beaucoup. Et je ne dis pas ça QUE pour faire du lobbying littéraire, j’ai EN PLUS beaucoup de respect pour l’auteur.
Bien qu’on n’en soit pas encore à devoir se poser cette question, j’ai déjà mis une option sur la traduction française de l’objet, ce à quoi l’auteur m’a rétorqué avec un sourire mi-narquois mi-californien : « si tu réussis à finir l’autre, celui-ci sera encore plus difficile ». Et moi j’aime ça, les challenges !
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